Gwenn, 20 ans
« En troisième année d’étude dans l’événementiel, j’avais envie de m’impliquer, non pas dans la sphère politique, mais aider à un projet concret comme Place to B.
Je cherche à m’investir pour changer mon impact environnemental, par des petits gestes simples – Par exemple, je suis très fière de mon sac fait en bouteilles recyclées ! *rire*. Je fais partie du Pôle Presse : j’aide à la mise en page, aux traductions, mais je donne aussi un coup de main si on a besoin de moi.
L’idée de rencontrer plein de gens différents avec un seul objectif commun me plait beaucoup.
Je fais partie de l’association présente à la COP21 « Musique pour tous » qui favorise l’apprentissage et l’accès à la musique, et c’est par ce biais que j’ai vu ce qu’il s’y faisait, et que j’ai connu Place to B. J’ai hâte d’échanger, de partager mes opinions, et de bons moments. »
Susannah, 27 ans
« Je viens du Nouveau-Mexique (États-Unis), et cela fait 10 ans que je vadrouille en Europe. J’ai fait mes études en Écosse, et plus récemment, j’ai été chef de projet dans une ONG à Londres. J’ai été activiste au Royaume-Uni, dans une coalition de différentes organisations, où je menais des actions locales en aidant l’organisation de marches par exemple. À la fin de mon contrat et de mon visa au Royaume Uni, j’ai décidé de voyager et m’impliquer à la COP21.
Avec tous mes engagements, j’ai eu plusieurs opportunités pour y participer mais un ancien collègue m’a parlé de Place to B. J’ai trouvé l’idée de changer le narratif et de s’emparer de la communication très intéressante. Je pense aussi que c’est de la responsabilité de tout le monde de prendre le relai des media traditionnels et de transmettre sa version. J’ai décidé d’être bénévole : je m’occupe de l’accueil des speakers et des invités. Je réalise également des traductions et les résumés des briefings chaque soir.
A l’issu de la COP 21, j’ai des attentes multiples : à la fois sur le plan professionnel, personnel… mais surtout, l’implication des sociétés civiles me tient à cœur. »
Verônika, 22 ans
« J’ai commencé des études en marketing et communication, mais j’avais un peu l’impression d’être considérée comme un alien trop engagé alors j’ai décidé d’arrêter, prendre une année de césure et voyager !
Après un stage à Berlin, je suis revenue à Paris pour quelques temps. J’ai décidé de m’engager. Je suis allée sur le site « Paris je m’engage ». Je suis tombée sur l’offre de Place to B et j’ai été conquise ! J’espère que ce sera l’occasion d’échanger, faire des rencontres, écouter les parcours différents.
Je pense que l’initiative est inspirante : il y a du contenu, c’est l’occasion de s’enrichir. C’est un vrai melting pot international, et je trouve que Place to B fait un peu écho à mon histoire personnelle pleine de voyages, née au Brésil, avec des parents navigateurs… et là, je m’apprête à commencer un stage dans un hôtel à la Réunion, dans une réserve naturelle.
Je suis attentive à un sujet en particulier : la consommation extrême. Ça me révolte. J’ai d’ailleurs fait mon mémoire sur l’obsolescence programmée. Je voulais voir des gens qui ont des idées sur ça, qui sont interpelés par cette problématique et voir ce qu’il s’y dit. »
Camille, 20 ans
« J’ai un DUT de génie biologique, option agronomie. Je souhaite être ingénieure agronome dans les pays du Sud.
J’ai tissé un lien fort avec la nature depuis petite. Plus tard, je me suis engagée auprès de l’APMM (Association des Populations des Montagnes du Monde) qui m’a aussi sensibilisée à la cause des peuples. En participant à la COP21, j’ai voulu m’impliquer encore plus pour le développement durable en faisant partie du mouvement.
J’ai connu Place to B en cherchant une opportunité pour m’investir. Je suis tombée sur le site qui m’a paru design, dynamique, innovant, jeune, et je me suis dit que ca devait être à l’image de Place to B. Aurore, en charge des bénévoles a été très chaleureuse et m’a très bien accueillie.
A la base, j’aide à la Creative Factory, mais j’aide un peu partout aussi.
Je pense que participer à Place to B peut être une opportunité intéressante à la fois sur le plan professionnel et personnel mais aussi suivre de près ce qui se passe à la COP21 en étant au cœur du mouvement ; j’essaie de faire ce que je peux à mon échelle… »
Laetitia, 34 ans
« Je suis historienne de l’art et photographe et je cherche maintenant un métier dans l’évènementiel.
J’ai connu Place to B par hasard. Après les attentats, je voulais m’engager, faire une mission pour aider. L’annonce m’a plu car c’était en plein dans l’actualité, ça permet de rencontrer des gens (journalistes, associations…), de voir ce qu’il se passe.
Déjà sensible à ces problématiques, je voulais être utile, occuper mon temps différemment, recréer le lien social. En tant que bénévole, je suis polyvalente, j’aide un peu à tout. »
Solène, 25 ans
« J’ai travaillé dans l’aide public au développement sur les questions environnementales ; c’est donc tout naturellement que je me suis engagée pour la COP21.
J’ai connu Place to B en surfant sur internet, et j’ai trouvé le projet super intéressant, en total cohérence avec mon parcours.
J’ai travaillé pour la participation de mon ancienne entreprise à la COP21 au Grand Palais. Ici, j’aide comme je peux et je souhaitais tout de même m’y investir personnellement. J’ai fait un master dans l’environnement, après des études mêlant science et sciences sociales, cela me paraissait évident.
Je pense que c’est une expérience à valoriser, qui va me permettre de rencontrer des gens, lors d’un événement au cœur de l’actualité. »